Corvette C6 LS2 VS TVR SAGARIS
3 participants
Page 1 sur 1
Corvette C6 LS2 VS TVR SAGARIS
Les commentaires valent leurs pesants d'or; Assez marrant avec les Johnny belle gueule en chasse!
adresse du site pour autre recherche : http://autoride-leblog.over-blog.com/article-11713337.html
Mercredi 8 août 2007
Comparo TVR Sagaris / Corvette C6
Je m'appelle Fred De Jemelajougrave et l'argent, pour moi, ce n'est pas un problème. J'aurais pu me faire péter la dernière Ferrari ou encore une Porsche GT3, mais pour quelqu'un de mon rang, c'est un peu banal. A la recherche de la caisse ultime pour faire tourner les têtes à Gstaad en hiver ou à Saint Trop l'été, j'ai finalement jeté mon dévolu sur la TVR Sagaris. Sitôt achetée, sitôt testée; mon pote Thierry de La Grandegueule vient de se porter acquéreur de la nouvelle Corvette C6 et part justement se la jouer sur la côte. L'occasion était donc trop belle de me joindre à lui…
Quand on aime les belles mécaniques, on ne peut se satisfaire d'une poignée de chevaux. V8 pour la Corvette, 6 cylindres en ligne pour la Sagaris, 400 chevaux pour les deux, les chiffres parlent d'eux même, va y avoir du sport les filles ! Garées côte à côte, les deux belles en jettent un max, avec une philosophie pourtant bien différente. La TVR, très compacte, affiche des lignes tortueuses et plutôt recherchées tandis que la Corvette, plus imposante, s'inspire du style plus classique de ses aïeules. Rappelons que cette dernière est issue d'une longue dynastie de modèles emblématiques née dans les années 50. La grande bleue nous tend les bras et les pleins sont faits; vitres ouvertes, chemise qui va bien, lunettes "big style", musique plein tube, la pêche est ouverte !
La ballade des gens heureux
Petit coup d'œil au feu rouge, une jolie blonde a les yeux braqués sur moi. Je ne suis pas dupe, c'est ma TVR qu'elle mate. Il faut dire que la belle, jaune étincelante, ne laisse pas indifférent et dénote au milieu de la circulation. Si la marque anglaise n'est pas très connue dans nos contrées, elle est en revanche très réputée de l'autre côté de la Manche où ses modèles jouissent d'une très bonne réputation. Construite autour d'un solide châssis tubulaire et d'une carrosserie en fibre composite, la Sagaris est mue par un 6-en-ligne maison de 4 litres. Si la puissance de 400 chevaux et le couple de 48 Mkg ne l'élèvent pas au sommet de la hiérarchie des supercars, sa conception minimaliste lui permet en revanche de n'afficher que 1078 kg sur la balance ! Pour mémoire, une Peugeot 207 1.4 pèse 100 kg de plus… Pour ce faire, les ingénieurs ont fait l'impasse sur bon nombre d'équipements : exit les airbags, aides à la conduite et autre anti-patinage, les freins se passant même de la moindre assistance…
L'habitacle, assez compact, affiche une finition plutôt inattendue pour une auto de petite série. Sièges et planche de bord en cuir noir piqué de jaune, panneaux de porte imitation carbone, inserts, comodos et pédalier en aluminium taillés dans la masse, volant trois branches, instrumentation digitale façon monoplace et même arceau multipoints, tout dans la Sagaris respire la course. Le feu passe au vert, le moteur rugit dans un son métallique que les deux échappements logés de part et d'autre du bouclier arrière se chargent d'amplifier. La boîte 5 Borg and Wargner se commande avec précision et fermeté via le petit levier alu qui trône au milieu de l'imposant tunnel central. Voiture anglaise oblige, c'est la main gauche qui travaille !
Thierry De La Grandegueule n'est pas en reste et échange quelques regards avec une jeune automobiliste en admiration. Les coups de gaz qu'il donne pour épater les jolis yeux résonnent dans un timbre typiquement ricain, V8 oblige. Aussi puissant que le moteur de l'Anglaise, le 6 litres culbuté de la "Vette" affiche un couple camionesque de 54 Mkg à 4400 trs/min qui permet au bellâtre de s'arracher avec force de la circulation. Un poil fainéant, celui-ci a opté pour la boîte auto 6 rapports, parfaite pour parader en ville mais sûrement moins fringante en conduite sportive. Il s'éloigne en exhibant l'arrière de son bolide avec ses 4 feux ronds typiques. Bleu foncée, l'Américaine attire elle aussi les regards; plus massive que la TVR, elle dégage un sentiment de force mêlé d'une bonne dose de classe qui ne laisse pas indifférent.
De conception plus classique, mais aussi bardée d'électronique, la Corvette frise pour sa part la tonne et demie. Les suspensions, également constituées de triangles superposés, sont épaulées par un ESP et un anti-patinage entièrement déconnectables. La place à bord n'est pas aussi comptée que dans la TVR, mais la finition et le style général restent bien en deçà. Si l'équipement se montre ultra-complet avec en prime un affichage des données tête haute dans le pare-brise style avion de chasse, les plastiques et les ajustages sont indignes d'une auto de ce rang. Il paraît que ce sont les défauts qui créent le charme, attendons donc de voir…
Le port de Villefranche regorge de touristes à cette époque de l'année, un petit passage s'impose donc. Il ne nous aura fallu que quelques mètres pour garnir nos sièges passagers respectifs de deux superbes créatures, preuve que le sex-appeal de la grosse bagnole (à moins que ce ne soit le nôtre ?) n'est pas un mythe !
Mon gros engin
Motivée par la belle Jennifer qui vient de poser sa main sur la mienne (aaargh !), je me lance à l'assaut de la grande corniche qui serpente entre Nice et Monaco. Thierry m'emboîte le pas, bien décidé à épater la blonde Pénélope de ses talents… Hélas pour lui, la Sagaris vient de pénétrer dans un environnement où elle semble être en mesure de dicter sa loi à tout ce qui roule. Accélérateur au plancher, le moteur s'envole dans les tours sans jamais s'essouffler. Le rupteur me rappelle à l'ordre à 7800 trs/min, changement de rapport ultra-rapide et c'est reparti pour un tour. Le gauche-droite qui suit me donne l'occasion de coller ma poupée (Barbie) dans le pare-brise… Les freins AP Racing, non assistés, demandent certes une grosse pression sur la pédale pour être efficaces, mais la puissance et l'endurance ne font pas défaut. L'avant s'inscrit avec précision grâce à la direction hyper-directe et l'arrière enroule dans une légère dérive qui aide à faire pivoter l'auto. Les excès d'optimisme à la remise des gaz se traduisent par de belles glisses qui se gèrent sans le moindre souci; la souplesse du moteur, l'autobloquant et l'efficacité des suspensions à double triangulation oeuvrent de concert pour propulser l'Anglaise de courbe en courbe comme par magie. Le tableau peut en revanche vite se ternir sur mauvais revêtement où la fermeté de ces dernières demandera un peu plus d'attention. J'ai également trouvé un défaut mais qui, à la réflexion, n'en est pas un : les sièges ne maintiennent pas suffisamment le corps et m'ont ainsi facilité les choses dans mes manœuvres d'approche ! Le constructeur a cependant réagi puisque des baquets Sparco seront bientôt disponibles.
Pris dans l'euphorie, j'en ai oublié mon pote De La Grandegueule que je n'aperçois d'ailleurs plus dans les rétros. Parfaite pour cruiser sur de longues portions rectilignes, la Corvette n'affiche pas la même superbe dans les virolos. Plus lourde, moins incisive et dotée d'une direction moins directe, elle peine davantage à s'inscrire en courbe. Elle vire certes à plat, les suspensions faisant correctement leur boulot, mais en aucun cas elle ne peut suivre le rythme de l'Anglaise. La boîte auto n'arrange rien, les tentatives de passages par les portières ne pouvant s'effectuer qu'en première; en effet, dès que l'auto commence à glisser et que les roues arrière se mettent à patiner, la vitesse supérieure s'enclenche, propulsant l'auto en sousvirage.
Même topo pour les freins, efficaces mais sans plus. Le plus gros défaut provient de leur manque d'endurance suite aux multiples freinages appuyés. L'Américaine excelle en revanche lors des relances ; très coupleux à bas régime, le bouilleur tracte dès les premières graduations du compte-tours mais s'essouffle toutefois au-dessus de 6000 trs/min. Les chaussées dégradées permettront également de retrouver un peu de superbe, grâce à la suspension qui préserve un confort très satisfaisant. Mention spéciale également pour l'affichage du tableau de bord "tête haute" très utile pour ne pas quitter la route des yeux.
Le beau Thierry n'allait cependant pas en rester là. Soucieux de ne pas décevoir sa bimbo, il a dû sortir le grand jeu. En un clin d'œil, le toit de la Corvette disparaît et prend place dans le coffre étonnement spacieux… A voir la tête de la blonde qui se remue assise sur la portière en écoutant le super son de la chaîne Hi Fi Bose, lui aussi a marqué de gros points !
Alors, heureuse ?
Mission accomplie, voitures rentabilisées ! Plus sérieusement, nos deux belles nous ont donné beaucoup de plaisir… affichant des puissances équivalentes, elles ne boxent pourtant pas dans la même catégorie. La TVR Sagaris est une sportive pure et dure, sans compromis. Ses performances canons et son efficacité raviront les mordus de pilotage mais pourront à l'inverse rebuter les moins expérimentés. Reste son exclusivité, apte à faire chavirer le cœur de ceux qui cherchent à rouler différemment. La Corvette C6, quant à elle, permet de goûter au mythe américain en toute décontraction. Moins performante que l'Anglaise, elle se montre en revanche bien plus confortable et surtout parfaitement utilisable au quotidien, le tout pour 20 000 euros de moins. Mais… Les filles, rendez-nous les clés, c'est pas marrant !
Par Fred " De Jemelajougrave" Rouvier
Photos Fabrice "allez les filles on sourit !" Lhéritier
adresse du site pour autre recherche : http://autoride-leblog.over-blog.com/article-11713337.html
Mercredi 8 août 2007
Comparo TVR Sagaris / Corvette C6
Je m'appelle Fred De Jemelajougrave et l'argent, pour moi, ce n'est pas un problème. J'aurais pu me faire péter la dernière Ferrari ou encore une Porsche GT3, mais pour quelqu'un de mon rang, c'est un peu banal. A la recherche de la caisse ultime pour faire tourner les têtes à Gstaad en hiver ou à Saint Trop l'été, j'ai finalement jeté mon dévolu sur la TVR Sagaris. Sitôt achetée, sitôt testée; mon pote Thierry de La Grandegueule vient de se porter acquéreur de la nouvelle Corvette C6 et part justement se la jouer sur la côte. L'occasion était donc trop belle de me joindre à lui…
Quand on aime les belles mécaniques, on ne peut se satisfaire d'une poignée de chevaux. V8 pour la Corvette, 6 cylindres en ligne pour la Sagaris, 400 chevaux pour les deux, les chiffres parlent d'eux même, va y avoir du sport les filles ! Garées côte à côte, les deux belles en jettent un max, avec une philosophie pourtant bien différente. La TVR, très compacte, affiche des lignes tortueuses et plutôt recherchées tandis que la Corvette, plus imposante, s'inspire du style plus classique de ses aïeules. Rappelons que cette dernière est issue d'une longue dynastie de modèles emblématiques née dans les années 50. La grande bleue nous tend les bras et les pleins sont faits; vitres ouvertes, chemise qui va bien, lunettes "big style", musique plein tube, la pêche est ouverte !
La ballade des gens heureux
Petit coup d'œil au feu rouge, une jolie blonde a les yeux braqués sur moi. Je ne suis pas dupe, c'est ma TVR qu'elle mate. Il faut dire que la belle, jaune étincelante, ne laisse pas indifférent et dénote au milieu de la circulation. Si la marque anglaise n'est pas très connue dans nos contrées, elle est en revanche très réputée de l'autre côté de la Manche où ses modèles jouissent d'une très bonne réputation. Construite autour d'un solide châssis tubulaire et d'une carrosserie en fibre composite, la Sagaris est mue par un 6-en-ligne maison de 4 litres. Si la puissance de 400 chevaux et le couple de 48 Mkg ne l'élèvent pas au sommet de la hiérarchie des supercars, sa conception minimaliste lui permet en revanche de n'afficher que 1078 kg sur la balance ! Pour mémoire, une Peugeot 207 1.4 pèse 100 kg de plus… Pour ce faire, les ingénieurs ont fait l'impasse sur bon nombre d'équipements : exit les airbags, aides à la conduite et autre anti-patinage, les freins se passant même de la moindre assistance…
L'habitacle, assez compact, affiche une finition plutôt inattendue pour une auto de petite série. Sièges et planche de bord en cuir noir piqué de jaune, panneaux de porte imitation carbone, inserts, comodos et pédalier en aluminium taillés dans la masse, volant trois branches, instrumentation digitale façon monoplace et même arceau multipoints, tout dans la Sagaris respire la course. Le feu passe au vert, le moteur rugit dans un son métallique que les deux échappements logés de part et d'autre du bouclier arrière se chargent d'amplifier. La boîte 5 Borg and Wargner se commande avec précision et fermeté via le petit levier alu qui trône au milieu de l'imposant tunnel central. Voiture anglaise oblige, c'est la main gauche qui travaille !
Thierry De La Grandegueule n'est pas en reste et échange quelques regards avec une jeune automobiliste en admiration. Les coups de gaz qu'il donne pour épater les jolis yeux résonnent dans un timbre typiquement ricain, V8 oblige. Aussi puissant que le moteur de l'Anglaise, le 6 litres culbuté de la "Vette" affiche un couple camionesque de 54 Mkg à 4400 trs/min qui permet au bellâtre de s'arracher avec force de la circulation. Un poil fainéant, celui-ci a opté pour la boîte auto 6 rapports, parfaite pour parader en ville mais sûrement moins fringante en conduite sportive. Il s'éloigne en exhibant l'arrière de son bolide avec ses 4 feux ronds typiques. Bleu foncée, l'Américaine attire elle aussi les regards; plus massive que la TVR, elle dégage un sentiment de force mêlé d'une bonne dose de classe qui ne laisse pas indifférent.
De conception plus classique, mais aussi bardée d'électronique, la Corvette frise pour sa part la tonne et demie. Les suspensions, également constituées de triangles superposés, sont épaulées par un ESP et un anti-patinage entièrement déconnectables. La place à bord n'est pas aussi comptée que dans la TVR, mais la finition et le style général restent bien en deçà. Si l'équipement se montre ultra-complet avec en prime un affichage des données tête haute dans le pare-brise style avion de chasse, les plastiques et les ajustages sont indignes d'une auto de ce rang. Il paraît que ce sont les défauts qui créent le charme, attendons donc de voir…
Le port de Villefranche regorge de touristes à cette époque de l'année, un petit passage s'impose donc. Il ne nous aura fallu que quelques mètres pour garnir nos sièges passagers respectifs de deux superbes créatures, preuve que le sex-appeal de la grosse bagnole (à moins que ce ne soit le nôtre ?) n'est pas un mythe !
Mon gros engin
Motivée par la belle Jennifer qui vient de poser sa main sur la mienne (aaargh !), je me lance à l'assaut de la grande corniche qui serpente entre Nice et Monaco. Thierry m'emboîte le pas, bien décidé à épater la blonde Pénélope de ses talents… Hélas pour lui, la Sagaris vient de pénétrer dans un environnement où elle semble être en mesure de dicter sa loi à tout ce qui roule. Accélérateur au plancher, le moteur s'envole dans les tours sans jamais s'essouffler. Le rupteur me rappelle à l'ordre à 7800 trs/min, changement de rapport ultra-rapide et c'est reparti pour un tour. Le gauche-droite qui suit me donne l'occasion de coller ma poupée (Barbie) dans le pare-brise… Les freins AP Racing, non assistés, demandent certes une grosse pression sur la pédale pour être efficaces, mais la puissance et l'endurance ne font pas défaut. L'avant s'inscrit avec précision grâce à la direction hyper-directe et l'arrière enroule dans une légère dérive qui aide à faire pivoter l'auto. Les excès d'optimisme à la remise des gaz se traduisent par de belles glisses qui se gèrent sans le moindre souci; la souplesse du moteur, l'autobloquant et l'efficacité des suspensions à double triangulation oeuvrent de concert pour propulser l'Anglaise de courbe en courbe comme par magie. Le tableau peut en revanche vite se ternir sur mauvais revêtement où la fermeté de ces dernières demandera un peu plus d'attention. J'ai également trouvé un défaut mais qui, à la réflexion, n'en est pas un : les sièges ne maintiennent pas suffisamment le corps et m'ont ainsi facilité les choses dans mes manœuvres d'approche ! Le constructeur a cependant réagi puisque des baquets Sparco seront bientôt disponibles.
Pris dans l'euphorie, j'en ai oublié mon pote De La Grandegueule que je n'aperçois d'ailleurs plus dans les rétros. Parfaite pour cruiser sur de longues portions rectilignes, la Corvette n'affiche pas la même superbe dans les virolos. Plus lourde, moins incisive et dotée d'une direction moins directe, elle peine davantage à s'inscrire en courbe. Elle vire certes à plat, les suspensions faisant correctement leur boulot, mais en aucun cas elle ne peut suivre le rythme de l'Anglaise. La boîte auto n'arrange rien, les tentatives de passages par les portières ne pouvant s'effectuer qu'en première; en effet, dès que l'auto commence à glisser et que les roues arrière se mettent à patiner, la vitesse supérieure s'enclenche, propulsant l'auto en sousvirage.
Même topo pour les freins, efficaces mais sans plus. Le plus gros défaut provient de leur manque d'endurance suite aux multiples freinages appuyés. L'Américaine excelle en revanche lors des relances ; très coupleux à bas régime, le bouilleur tracte dès les premières graduations du compte-tours mais s'essouffle toutefois au-dessus de 6000 trs/min. Les chaussées dégradées permettront également de retrouver un peu de superbe, grâce à la suspension qui préserve un confort très satisfaisant. Mention spéciale également pour l'affichage du tableau de bord "tête haute" très utile pour ne pas quitter la route des yeux.
Le beau Thierry n'allait cependant pas en rester là. Soucieux de ne pas décevoir sa bimbo, il a dû sortir le grand jeu. En un clin d'œil, le toit de la Corvette disparaît et prend place dans le coffre étonnement spacieux… A voir la tête de la blonde qui se remue assise sur la portière en écoutant le super son de la chaîne Hi Fi Bose, lui aussi a marqué de gros points !
Alors, heureuse ?
Mission accomplie, voitures rentabilisées ! Plus sérieusement, nos deux belles nous ont donné beaucoup de plaisir… affichant des puissances équivalentes, elles ne boxent pourtant pas dans la même catégorie. La TVR Sagaris est une sportive pure et dure, sans compromis. Ses performances canons et son efficacité raviront les mordus de pilotage mais pourront à l'inverse rebuter les moins expérimentés. Reste son exclusivité, apte à faire chavirer le cœur de ceux qui cherchent à rouler différemment. La Corvette C6, quant à elle, permet de goûter au mythe américain en toute décontraction. Moins performante que l'Anglaise, elle se montre en revanche bien plus confortable et surtout parfaitement utilisable au quotidien, le tout pour 20 000 euros de moins. Mais… Les filles, rendez-nous les clés, c'est pas marrant !
Par Fred " De Jemelajougrave" Rouvier
Photos Fabrice "allez les filles on sourit !" Lhéritier
Re: Corvette C6 LS2 VS TVR SAGARIS
Ils auraient quand même pu dire qu'une des 2 a un nom bizarre à mi-chemin entre un train et un fromage grec
Re: Corvette C6 LS2 VS TVR SAGARIS
http://autoride-leblog.over-blog.com/categorie-10110617.html
Avec des commentaires désopilants, essais de la GT40 et de la ZO6 (3ème après GT40, Lambo sur la même page du lien!
Avec des commentaires désopilants, essais de la GT40 et de la ZO6 (3ème après GT40, Lambo sur la même page du lien!
Re: Corvette C6 LS2 VS TVR SAGARIS
Visiblement il n'a jamais entendu parler des 454 et 500ci des Cadillacs, mais je lui pardonne...Plus gros V8 jamais produit par Général Motors
Re: Corvette C6 LS2 VS TVR SAGARIS
Ce sont des tous jeunes petits qui ont dû voir le jour après 1985, il faut leur pardonner!
Re: Corvette C6 LS2 VS TVR SAGARIS
TVR ça pousse fort ….mais quid de leur fiabilité ?
VetteSpeed- Turbocharged
- Nombre de messages : 5068
Age : 31
Localisation : dans le Cosmos
Modele Vette : VetteWalker
Date d'inscription : 11/06/2007
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum